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Ma revue de la saison Hiver 2016 Animés (1/2)
Ma revue de la saison Hiver 2016 Animés (1/2)

Ma revue de la saison Hiver 2016 Animés (1/2)

Suite aux deux précédents articles sur les animés de la saison automne 2015, on ne va pas s’arrêter en si bon chemin. Voici donc le premier article sur la saison hiver 2016.

Active Raid: Kidou Kyoushuushitsu Dai Hakkei

Active Raid: Kidou Kyoushuushitsu Dai Hakkei
Active Raid: Kidou Kyoushuushitsu Dai Hakkei

Cela se passe dans un futur proche où, suite à l’évolution de la technologie, des « powered suits » (j’avoue ne pas trouver de traduction française qui sonne correctement) appelées « WillWears » sont apparues, la plupart du temps utilisées dans les travaux mais il arrive parfois que des criminels mettent la main dessus et comme les moyens conventionnels sont impuissants face à elles, une unité spéciale de la police a été créée pour faire face à cette menace.

On va donc suivre l’unité 8 (officiellement c’est quelque chose comme « Sécurité Spéciale Publique, 5ème Division, 3ème Assaut Mobile, Unité 8 ») qui a une assez mauvaise réputation car elle a un peu trop l’habitude de causer autant de dégâts que les criminels qu’elle arrête (même si on se rend compte qu’elle n’a guère le choix si elle veut pouvoir arrêter des criminels dans des supers armures qui ne se laissent pas faire).

Un autre point est que le déploiement des différentes armures de l’unité 8 est extrêmement contrôlé et nécessite de multiples autorisations de multiples autorités supérieures, ce qui ne facilite pas les choses.

Rien d’exceptionnel mais cela se laisse voir, l’animation est pas mal, j’aime bien les méchants, peu, voire pas de surprise mais je ne suis jamais demandé « pourquoi je regarde ça? ».

Ansatsu Kyoushitsu (TV) 2

Ansatsu Kyoushitsu (TV) 2
Ansatsu Kyoushitsu (TV) 2

Assassination Classroom en anglais, la deuxième saison.

L’histoire se déroule dans notre monde, jusqu’au jour où un monstre détruit la lune au 3/4 avant de démontrer son invulnérabilité à toutes les armes que possédent l’Humanité. Il propose alors un accord: pendant un an, il va donner des cours à une classe d’un collège privé, les élèves de cette dernière seront libres de tenter tous les assassinats qu’ils veulent, et lui ne blessera jamais ces élèves. Par contre, si au bout d’un an ils n’ont pas réussi à le tuer alors il détruira la Terre. La classe qu’il a choisis est en fait la classe constituée des rebuts du collège, ils sont exilés hors du bâtiment principal et sont dénigrés par les autres élèves (ce qui est voulu, la peur de rentrer dans cette classe devant servir de moteur pour les autres élèves selon la politique élitiste du directeur de l’école). Les élèves de cette classe, en plus de devoir tuer leur professeur principal, devront donc faire face au système injuste de l’école ainsi qu’à leur propre problèmes personnels.

Si on outrepasse l’idée que c’est quand même un poil malsain d’apprendre à des collégiens à devenir des assassins professionnels (outre l’alien, ils ont un membre des forces spéciales japonaises ainsi qu’une tueuse professionnelle comme professeur), c’est pas mal du tout.

C’est essentiellement de la comédie, avec quelques scènes d’actions lors des tentatives d’assassinats, c’est bien animé, j’aime bien les personnages et il y a des rebondissements sympathiques. A voir.

Ao no Kanata no Four Rhythm

Le contexte est quasiment identique à notre monde, à l’exception que l’on a inventé des chaussures anti-gravité qui permettent de voler. A partir de cette invention, un sport a été crée, le Flying Circus, un mélange de course et de « combat » (qui se limite à devoir toucher le dos de l’adversaire).

On va donc suivre un club de lycée qui pratique ce sport dans leurs pérégrinations. C’est pas mal, tout ce qui est graphique est bien, le scénario fait ce qu’il a à faire même si on reste dans du manga sportif donc on est dans le classique, les personnages sont bien sauf une, qui se trouve être quasiment le personnage principal.

En fait, j’ai horreur des personnages un peu niais qui n’ont jamais touché un sport ou une quelconque activité et qui en l’espace d’une poignée de cours deviennent super fort, ça me fait un peu l’impression « je crache sur tes années d’entraînement où tu en as chié ». Voilà, du coup j’ai parfois un peu de mal avec cet animé.

Ao no Kanata no Four Rhythm
Ao no Kanata no Four Rhythm

Bubuki Buranki

Bubuki Buranki
Bubuki Buranki

Bon on va y aller étape par étape, sinon ça risque de devenir indigeste.

Un bubuki est une arme (ça peut être n’importe quoi, une épée, un fusil, …) dotée d’une volonté propre qui choisit son porteur.
Un buranki est un géant. Il y en a deux types: un type sauvage qui attaque de façon aléatoire l’Humanité, depuis longtemps visiblement, et un autre type qui est plus ou moins sous le contrôle de 5 porteurs de Bubuki, les 5 porteurs étant le cœur et les 4 membres du Buranki (du coup ça fait un peu megazord qui s’assemble). Les deux types de Buranki s’affrontent.

L’histoire commence sur une île flottant au-dessus de la Terre, une famille y vit parmi des Buranki visiblement endormis. Un jour les enfants font une bêtise qui cause le réveil de plusieurs Buranki et qui cause un peu une catastrophe. La mère n’a alors d’autres choix que de faire quitter l’île à ses enfants tandis qu’elle et son mari restent en arrière.

L’histoire reprend 10 ans plus tard quand le jeune garçon revient à Tokyo. Et de là arrivera plein de choses, presque trop, des fois on a même un peu l’impression que l’ajout est artificiel (genre « il nous manque du contenu pour les derniers épisodes alors hop! On ajoute ça à l’univers »).

C’est pas trop trop mal, mais comme dans tous les animés où les héros sont des gamins, ce sont les méchants (dans notre cas des adultes) qui sauvent les meubles. Le héros principal a d’ailleurs du être fait en pain d’épice tellement il est mièvre, c’est juste pas possible, on a envie de le baffer constamment.

Dagashi Kashi

On suit un collégien vivant dans une toute petite ville du japon qui rêve de devenir mangaka, sauf que son père tient une boutique de friandise et qu’il veut que son fils prenne la suite.

Arrive alors la fille du président d’un grand groupe de fabriquant de friandises qui veut, pour une raison inconnue (en tout cas non-dit aux spectateurs) embaucher le père du garçon. Ce dernier est prêt à accepter uniquement si son fils reprend la boutique de friandises. Du coup, l’animé va être plus ou moins les tentatives de la fille pour convaincre le garçon de reprendre la boutique du paternel.

Bon le scénario est plus un prétexte pour faire un véritable défilé de tout ce que le Japon compte comme friandises, mais c’est sympathique.

Dagashi Kashi
Dagashi Kashi

Dimension W

Dimension W
Dimension W

L’histoire se passe dans un futur proche, avec une grosse différence: un scientifique a découvert une nouvelle dimension (appelée dimension W, pour rester dans le X, Y, Z) et il est possible de tirer de cette dimension une énergie visiblement infinie grâce à un « coil », qui ressemble à un gros clou.

Une société (New Tesla Energy, en honneur à Nikola Tesla qui avait imaginé la transmission d’énergie sans fil) se crée et des gigantesques tours sont créées un peu partout dans le monde pour former un réseau mondial qui facilitera et régulera la récupération de l’énergie par les coils. Grâce à cela l’Humanité à désormais à disposition une énergie propre et infinie.

On suit Kyouma, un Agent de Récupération, une sorte de chasseur de prime indépendant pour les coils illégaux (c’est-à-dire ceux que New Tesla n’a pas créés). Il est extrêmement doué, mais sa véritable particularité est qu’il déteste fondamentalement les coils. Il vit donc à l’écart dans une maison dont l’électricité est fournie par un groupe électrogène et il roule dans une voiture à essence. L’histoire commence avec Kyouma tombant sur un robot anormalement intelligent, s’ensuivra moult aventures et révélations.

J’aime bien, ce n’est pas toujours d’une originalité folle mais c’est bien, les graphismes, les personnages, … à voir.

Divine Gate

Divine Gate
Divine Gate

L’histoire se passe dans le futur. Le monde de l’animé à suivi la même histoire que le vrai jusqu’au jour où la Porte Divine s’est ouverte, ce qui a causé de nombreuses catastrophes ainsi que la fusion des royaumes de Celestia, Terraria et Hellestia (le paradis, la terre et l’enfer quoi), à noter que la fusion n’est pas vraiment une superposition, c’est jusqu’on peut aller en enfer en train.

On suit, principalement, 3 gamins qui ont des pouvoirs liés aux éléments, la possession de ce genre de pouvoir par les humains étant l’une des conséquences de l’ouverture de la Porte Divine. Ces 3 gamins cherchent à atteindre la Porte Divine car la rumeur dit que cette dernière exauce le vœu de celui qui l’atteint.

C’est bof, le design est pas mal mais les décors ne sont pas terribles surtout ceux en CG et l’histoire n’a rien de spéciale. Les combats ne m’ont pas marqué. Je trouve aussi que l’un des gamins avaient un potentiel pour faire un vrai personnage sombre (il est quand même accusé d’avoir tué ses parents, il est suspecté d’être l’auteur d’un massacre dans un centre commercial, il vit seul, n’a pas d’amis, il y a du potentiel) mais non, la guimauve de ses compagnons le contaminera bien vite.

Gate: Jieitai Kanochi nite, Kaku Tatakaeri 2

Gate: Jieitai Kanochi nite, Kaku Tatakaeri 2
Gate: Jieitai Kanochi nite, Kaku Tatakaeri 2

La deuxième saison de Gate.

L’histoire est simple, c’est notre monde sauf qu’un jour une porte (2 ou 4 voies de large, 1 ou 2 étages de haut) s’ouvre en plein Tokyo. Une armée type héroïque fantaisie en sort (hommes en armures et épées, orcs, dragons, …) et commence à massacrer les civils.

la JSDF intervient et écrase l’envahisseur, avant d’envoyer une force expéditionnaire au-delà de la porte.

La première saison était plutôt axée sur la découverte du monde au-delà de la porte et de la réaction des différents gouvernements de notre monde, la deuxième saison est plus portée sur les négociations de paix entre le Japon et l’Empire (le pays dominant de l’autre monde).

Toujours très bien, à voir.

Anthony A.

Informaticien de profession. Passionné d'Histoire. Pratiquant le Kendô. Et geek à ses heures perdues.

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